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LA SALLE A MANGER
La Salle à Manger, une fois meublée.
Derrière le présentoir, se cachent la grande table et les chaises fournies par Planeta.
J'ai, à l'exception des barreaux,
entièrement construit l'escalier.
Il est décoré dans l'esprit
de celui du rez-de-chaussée.
Sont accrochés sur ce mur,
la reproduction d'une tapisserie intitulée :
« Le Parc de Versailles » ainsi
qu'une reproduction de Hyacinthe RIGAUD : « Louis XV en costume de sacre » de 1730.
Je me suis « amusée »
pour scier le plafond afin que
mon escalier puisse mener réellement dans la chambre de la Reine.
Planeta n'ayant pas prévu d'accès
au 2ème étage,
il a bien fallu y remédier !!!
Mes corniches ont été achetées brutes,
peintes en blanc et décorées
avec des autocollants dorés.
J'ai acheté des barreaux pour fabriquer
la rambarde que j'ai décorée,
toujours avec mes petits stickers dorés,
à l'identique de mon escalier.
J'ai acheté le lustre dans un magasin spécialisé. Il m'a, celui-ci aussi, coûté la « peau des fesses » !!! Il est de toute beauté.
Une porte censée menée sur une autre pièce m'a obligé à scier dans le mur.
Ce que l'on ne voit pas, c'est la photographie qui est collée derrière représentant une véritable pièce du Château de Versailles.
A droite, une reproduction de Joseph Siffred DUPLESSIS, « Louis XVI en costume de sacre » datant de 1777.
A gauche, une reproduction de Hyacinthe RIGAUD « Louis XIV » de 1701.
Ceci est une ancienne pendule,
recyclée pour l'occasion,
j'y ai mis en son centre un vitrail.
Une petite ampoule permet
d'illuminer ce vitrail,
partie d'une copie d'une œuvre dont j'ai,
une fois encore,
oublié de noter le nom.
Pour plus de « sophistication »,
des décorations ou de petits miroirs
parsèment mes murs.
La tapisserie encadrée est
une reproduction
de Jean-Baptiste OUDRY :
« Chasse d'oubry ».
Le plafond est une frise papier peint « trouvée » au cours de mes « visites »
dans tous les magasins de bricolage
de ma région.
De petits brillants dorés et des miroirs enjolivent l'ensemble.
Dommage que je ne puisse vous montrer ce que cela rend
une fois toutes les lumières allumées.
Je n'ai pas encore pris de photo potable de mon château illuminé le soir venu
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Dans la chambre de la Reine :
Maurice Quentin DE LA TOUR, « Madame de Pompadour » Musée du Louvre.
Ce portrait au pastel figure l'une
des rares femmes ayant joué un rôle prépondérant dans la vie artistique, intellectuelle et politique du XVIIIe siècle. Maîtresse puis amie du roi Louis XV,
elle se veut aussi sa conseillère.
Le portrait, commandé au plus illustre
et au plus doué des pastellistes contemporains Maurice-Quentin Delatour,
éclaire les intentions de Jeanne-Antoinette Poisson Marquise de Pompadour
dans cet ambitieux chef-d'oeuvre,
créées au fil de l'évolution des sentiments et des rapports d'un couple d'exception.
Elisabeth Louise VIGEE LE BRUN,
"La Reine Marie - Antoinette en grand costume de cour, une rose à la main"
vers 1785. Château de Versailles.
Née en 1755, Marie-Antoinette de Lorraine-Habsbourg, archiduchesse d’Autriche,
devint reine de France en 1774
lorsque Louis XVI accéda au trône.
Dès 1778,
sans attendre qu’Elisabeth Vigée-Lebrun
soit élue à l’Académie royale
de peinture et de sculpture,
la reine en fit son peintre attitré.
Madame de Maintenon
Femme sage et pieuse qui ne manque pas d’esprit, elle finira par séduire le roi, qui la nomme marquise de Maintenon. Amant depuis 1679, le couple se marie en secret après la mort de la reine, Marie-Thérèse, en 1683. Madame de Maintenon, reine discrète mais à la morale sans faille, aurait eu une grande influence sur le roi.
Après la mort de Louis XIV, en 1715, elle se retire à Saint-Cyr, où elle avait créé une école pour jeune fille en 1686. Mme de Maintenon y demeure jusqu’à sa mort, en 1719.
Dans la chambre des Princes :
Cette œuvre est
une partie d'un tableau
de François BOUCHER
« Les Amours des Dieux »
peint en 1758 .
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LA CHAMBRE DES PRINCES
Le tour de la porte a été faite par mes soins,
de bois et de tapisserie,
aux couleurs de la chambre.
Le tableau est une partie
d'une reproduction de François BOUCHER :
" Les Amours des Dieux" datant de 1758.
La parure de lit a été agrémentée d'un froufrou.
Les tapis sont des morceaux de tapisserie,
enrichis de stickers dorés,
le tout collé sur un morceau de tissu.
La parure au dessus du lit
a été enjolivé
de petits brillants blancs et bleus.
A l'arrière de l'applique,
ornée de perles,
deux petits miroirs
posés l'un sur l'autre.
La parure et le contour de lit
ont été refaits dans les tons de la pièce
en accord avec la parure du grand lit.
Les contours des fenêtres
sont faits en carton,
rehaussés de petits brillants blancs et bleus.
Sur les murs des décorations,
achetées dans divers magasins,
peintes couleur or,
et de petits miroirs
ont été posés pour embellir la pièce.
Le plafond est une frise « trouvée »
dans un magasin de bricolage.
La rosace
ainsi que les corniches,
achetés dans un magasin spécialisé
en miniature,
sont peints couleur or.
Le lustre,
fourni par Planeta,
est enjolivé de perles.
Le secrétaire a été acheté brut.
Le cheval à bascule trouvé à Emmaüs.
Tous les deux ont été peints
aux couleurs de la chambre.
Le reste du mobilier
a été fourni par Planeta.
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