• Je n'ai, malheureusement, pas pensé à faire des photos des tableaux que j'ai "accrochés" dans mon château. Vous ne pourrez donc pas y voir les encadrements confectionnés.

    Voici, cependant, les reproductions d’œuvres d'art dont je me suis servie pour le 1er étage

     

     

     

     

     

     

     

     

    « Le parc de Versailles » est

    une tapisserie.

    Faite d'après

    un tableau du 17è

    représentant

    le parc

    du Château de Versailles.

    Dessinés par LE NOTRE,

    les jardins et les bassins

    agrémentés de jeux d'eaux

    furent conçus

    pour

    le plaisir des promenade

    du Roi Louis XIV

    et sa fastueuse cour.

    Une bordure aux armes

    de Louis XIV

    orne cette perspective du parc.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Hyacinthe RIGAUD, 1730

    « Louis XV en costume de sacre ».

    Le roi est représenté en pied

    vêtu du manteau royal

    fleur-de-lysé doublé d’hermine.

    De la main gauche,

    il tient le sceptre de Charles V

    surmonté

    de la statuette de Charlemagne

    et appuie la main droite

    sur la couronne.

    Il est décoré de l’ordre

    du Saint-Esprit

    et porte sous son manteau

    la culotte bouffante propre

    à son ordre.

    Les autres regalia sont l’épée

    que l’on aperçoit

    derrière sa jambe droite

    et la main de justice

    à côté de la couronne.

     

     

     

    Joseph Siffred DUPLESSIS, "Louis XVI en costume de sacre" datant de 1777. Château de Versailles.

    Louis XVI fut sacré en 1775. Le peintre, Joseph Siffrède DUPLESSIS, le représente avec les vêtements et les attributs caractéristiques de cette cérémonie millénaire et solennelle, qui confère une valeur religieuse au couronnement du roi. Sceptre, manteau bleu à fleurs de lys doublé d'hermine, collier de grand-maître de l'ordre du Saint-Esprit, couronne et main de justice (masquée par les plumes du chapeau) posées sur un tabouret... : tous ces objets, appelés regalia, sont autant de symboles de la royauté française. Par sa posture droite et altière, son regard supérieur, Louis XVI incarne la monarchie !

     

     

     

     

    « Louis XIV » Musée du Louvre

    Ce portrait

    de Louis XIV, roi de France

    a été réalisé en 1701

    par le peintre français

    Hyacinthe RIGAUD

    pour répondre

    à une commande du monarque

    qui souhaitait contenter

    le désir

    de son petit-fils, Philippe V.

    Ce portrait restera finalement

    en France

    en raison de son succès

    et fut accrocher à Versailles.

     

     

     

     

     

    Reproductions du 1er étage

     « Chasse d'Oubry »

    Cette scène de chasse est l’œuvre de Jean-Baptiste OUDRY, célèbre peintre animalier très proche de la nature.

    Distraction noble et passe-temps favori des grands de l'époque, la chasse à courre est fréquemment illustrée dans les tapisseries du XVIIIe siècle.
    Dans un paysage de bois et forêts, des cavaliers préparent la meute pendant que les piqueurs sonnent du cor. Cette tapisserie représente une halte de chasse dans la forêt de Compiègne, au nord de Paris. 

     

     François BOUCHER, « Diane sortant du bain » 1742. Musée du Louvre.

    La déesse Diane se repose après la chasse, servie par une nymphe pour sa toilette rituelle.

    Sous couvert de sujet mythologique,

    ce tableau est un hymne au corps féminin.

    Le raffinement du dessin,les chairs rayonnantes, la touche moelleuse et le coloris lumineux attestent la maturité de l'artiste.

     

     

     

    François BOUCHER,

    « La muse Terpsichore »

    Muse

    de la poésie lyrique de chorale.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Simon VOUET, « La Richesse »

    peint vers 1635.

    Musée du Louvre.

    Avec le retour d'Italie de Vouet,

    la peinture claire triomphe à Paris.

    Cette allégorie lumineuse,

    qui évoque Véronèse,

    fait allusions

    aux richesses spirituelles

    (l'enfant qui désigne le ciel),

    supérieure aux biens terrestres

    (vases, bijoux)

    et même au savoir (Livre).


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    LE SALON DE THÉ

      

    Le salon de thé

     

     

    Le salon de thé

    Faisant le tour de la pièce,

    une frise que j'ai embellie grâce

    à mes autocollants dorés

    et un coup de crayon couleur argent.

    Le tableau sur le mur de gauche est

    une reproduction de

    François BOUCHER :

    « L'enlèvement d'Europe » datant de 1747.

     

     

     

    Le salon de thé

     

     

     

     

     

     

    Pour confectionner

    l'arrière de mes appliques,

    je me suis servie

    d'une paire de boucles d'oreille

    sur lesquelles sont posés de petits miroirs.

     

    Le feu est, lui aussi,

    une reproduction papier,

    des ampoules sont cachées

    dans la cheminée.

     

    Le tableau est

    d'Eustache LE SUEUR,

    il l'a peint vers 1652-1655.

    Il se nomme

    « Clio, Euterpe et Thalie ».

     

     .

     

     

     

    Le salon de thé

     

      Le tapis n'est

    qu'une reproduction papier

    collée

    sur un morceau de tissu.

     

    En avant plan,

    on peut voir

    une reproduction de

    « Diane chasseresse »

    datant du LXème siècle

    dont nous ignorons l'auteur.

     

    Le salon de thé

     

     

     Les rideaux

    ont été confectionnés

    grâce à

    du tissu « récupéré »

    à Emmaüs

    (c'est mon plus gros

    fournisseur de tissu

    car le moins coûteux !!!).

     

     

    Le salon de thé

     

     

     

     Cette moulure,

    peinte couleur or

    et parée de petits brillants,

    est un ancien cadre acheté

    dans un vide greniers.

     

    Le lustre est l'un des rare

    que j'ai acheté.

    Bien que cela ne soit pas évident

    sur cette photo,

    il est de toute beauté.

    Il peut l'être étant donné

    qu'il m'a coûté

    « la peau des fesses » !!!

     

     

     

     

     

     

    Le salon de thé

      

     

     

     

     

     

    La pièce, une fois meublée,

    où 2 chiens tiennent compagnie

    à une gente dame

    qui se délecte de chocolats.

     

     

    Les anges du plafond ont été dupliqués,

    en plâtre,

    pour que cela soit moins onéreux.

     

     

    Les murs sont couverts de

    décorations trouvées dans divers magasins

    que j'ai mis dans les tons de la pièce.

     

     

    Mobilier fourni par Planeta


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  • Je n'ai, malheureusement, pas pensé à faire des photos des tableaux que j'ai "accroché" dans mon château. Voici cependant, les reproductions dont je me suis servie pour le rez-de-chaussée

     

    Dans la bibliothèque :

    François BOUCHER , « Le Déjeuner » peint en 1739. Musée du Louvre

    Dans ce morceau d'heureuse intimité domestique,

    on a cru reconnaître la famille de l'artiste.

    Ce tableau a une valeur documentaire

    sur l'art de vivre à l'époque de Louis XV,

    le tableau montre un intérieur rocaille

    où l'on sacrifie à la mode du café.

    C'est l'un des rares essais de Boucher dans la peinture de scène d'intérieur.

    Les rapports entre les personnages,

    les échanges des regards,

    la fillette tournée vers le spectateur,

    expriment cette recherche d'une certaine simplicité, d'une intimité réelle.

     

     

     

     

    Reproductions du rez-de-chaussée

    Dans le hall d'entrée :

    « Louis XIV à Versailles »

    D'après la célèbre suite des douze tapisseries "les Maison Royales" conçue

    par Charles LE BRUN (1619 - 1690) et tissée de 1968 jusqu'en 1711

    à la Manufacture Royale des Gobelins. Destinées au décor des demeures royale ou utilisées comme cadeaux diplomatiques, ces tentures furent toutes créées à la gloire du Roi Louis XIV (1638 - 1715)
    Elles mettent en scène, au premier plan, le souverain et évoquent à la fois ses résidences, ces divertissements et plus généralement le faste de sa cour. Cette tapisserie représente Louis XIV chassant dans le parc du château de Versailles.

     --------

    Reproductions du rez-de-chaussée

    C'est le seul tableau qui ne soit pas une reproduction d’œuvre d'art. C'est une photographie représentant le Hameau de la Reine, dépendance du Petit Trianon.

    Le hameau d'agrément a été voulu vers 1783 par la Reine Marie-Antoinette afin de s'éloigner des contraintes de la cour de Versailles. La construction en fut confiée à l'architecte Richard Mique.

    Cherchant un refuge dans la vie paysanne, la Reine n'hésitait pas à venir y traire des vaches ou des brebis soigneusement entretenues et lavées par les domestiques. Habillée en paysanne avec ses dames de compagnie, elle utilisait les seaux en porcelaine de Sèvres spécialement décorés à ses armoiries par la Manufacture Royale.

     -------

    François BOUCHER, « L'Enlèvement d'Europe » peint en 1747. Musée du Louvre.

    Ce tableau était destiné à Versailles

    ou à l'un des châteaux

    que Louis XV avait donné

    à la Marquise de Pompadour.

    Il fut réalisé à l'occasion du concours

    entre les peintres de l'Académie,

    organisé par le directeur des bâtiments du Roi.

    Eustache LE SUEUR, 

    " Clio, Euterpe et Thalie » peint

    vers 1652-1655. Musée du Louvre.

    Clio, Muse de l'histoire, tient la trompette

    qui célèbre les grands faits de l'humanité

    et le livre qui les enregistre.

    Euterpe, Muse de la musique,

    portant une couronne de fleurs,

    joue de la flûte traversière.

    Thalie, Muse de la comédie,

    tient un masque qui évoque le théâtre.

     

     

     

    Anonyme,

    «  Diane chasseresse »

    datant du LXème siècle . Musée du Louvre.

    L'attitude de cette Diane

    semble s'inspirer d'une sculpture héllénistique intitulée la Diane à la Biche,

    dont un exemplaire fondu en bronze

    par Primatice se trouvait

    à Fontainebleau au XVIème siècle.

    L’œuvre représente très certainement

    un portrait idéalisé de Diane de Poitiers, maîtresse du roi. Henri II.

     

     

     

     

     

     

      

    Joseph-Marie VIEN, 

    « Jeunes grecques parant de fleurs l'Amour endormi » 1773.

    Musée du Louvre

     

    Ce tableau et son pendant,

    Amant couronnant sa maîtresse, appartiennent à un ensemble

    de quatre œuvres commandées

    par Madame du Barry

    pour son pavillon de Louveciennes,

    illustrant "les progrès de l'amour

    dans le cœur des jeunes filles".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La reproduction du plafond

    de ma bibliothèque.

    J'ai oublié (une fois n'est pas coutume !)

    de noter

    le nom et l'auteur de cette œuvre.


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  •  

    Pour cette pièce, j'ai choisi de poser sur les murs du vénilia imitation cuir. Les meubles, excepté un, ont tous été peints en blanc, agrémentés de mes petits autocollants dorés.

    Les photos ne sont pas de bonne qualité, j'en reprendrai d'autres dès que je pourrai.

     


     

    J'ai acheté le meuble tout fait,

    j' y ai simplement rajouté

    quelques dorures,

    avec à l'intérieur

    quelques minuscules figurines

    peintes couleur or.

    Au-dessus,

    la vitrine que j'ai confectionnée

    avec de vrais coquillages.

    Le rideau provient

    d'un bustier recyclé pour l'occasion.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'étagère est une partie du meuble

    qui nous a été fourni par Planeta

    (vous savez celui

    qui ne rentrait pas dans la pièce

    car trop grand !!!).

    Les livres ont été fabriqués,

    un par un,

    avec du papier pré-dessinés et du balsa.

     

     

     

     

     

     

     

     

     La cheminée et le miroir

    ont été achetés bruts,

    décorés à l'identique

    des autres meubles de cette pièce.

    Derrière les appliques,

    des décorations sur lesquelles

    j'ai collés des miroirs.

    Le feu est une reproduction papier.

    De petites ampoules

    sont cachées dans la cheminée

    pour faire illusion.

     

     

     


     

    Ce meuble, lui aussi,

    a été acheté brut.

    J'y ai rajouté une hauteur d'étagère

    pour qu'il aille jusqu'au plafond.

    Au centre,

    une reproduction

    de François BOUCHER :

    « Le déjeûner » peint en 1739.

    Ces livres, eux aussi,

    ont été fabriqués un par un.

    Ce sont des petits morceaux

    de bois recouverts de papier

     

     

     

     

    Au plafond des moulures,

    dont une centrale contient

    une reproduction

    dont j'ai oublié de noter le nom.

    Et, pour changer,

    des perles de couleur ornent le lustre.

    Pour le sol,

    je me suis servie

    du papier fourni par Planéta.

    Celui-ci, étant trop grand,

    a été scanné

    puis rétréci pour être mis

    aux dimensions réelles de cette pièce.


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